On passe à du lourd, puisqu’il s’agit de Milan Kundera. Je préfère les romans de sa période tchèque, puis française, jusqu’à L’immortalité qui est à mon sens son meilleur bouquin – mais je ne recommande pas de commencer par celui-ci, afin de mieux l’apprécier. Je ne retrouve pas dans ses derniers romans, plus courts, ce talent de la composition, ce qui fait que j’y accroche moins. Il faut aussi passer outre le côté un peu donneur de leçon, pour écouter ce qu’il a à dire. Mais il reste un de mes auteurs préférés.