Ski et théâtre


Télésiège au PleynetHier samedi, lever 7h15, direction les 7 Laux. Il a neigé il y a quelques jours, et le domaine était très peu ouvert les jours précédents ; en plus, le ciel est dégagé. Arrivé là-haut : c’est la queue pour les forfaits, pire que dimanche dernier. De plus, il y a un sacré vent sur le sommets et le télésiège de Pipay avance au ralenti, donc c’est la queue en-bas aussi. On part directement sur Le Pleynet et on ne skie pratiquement que là-bas : le télésiège qui part sur la droite est ouvert lui-aussi.Vent sur les sommetsL’heure avançant, on décide de redescendre sur Pipay ; on prend des pioches pour rebasculer sur l’autre versant, et on ne voit pas le départ de la piste noire : nous voilà embarqués dans une espèce de hors piste plein de grosse neige et de surfeurs;  après tout ce qui a été fait la matin,  c’est dur ! Je me prends une crampe dans la descente, aïe aïe aïe. Arrivés en bas, c’est la folie : queue énorme au télésiège, on décide de partir plutôt que de faire 20 minutes de queue au moins pour une dernière descente.
La queue à Pipay
Samedi soir, c’était théâtre  et la méthodeRibadier au théâtre de Grenoble, qui passait à la télé sur Paris Première en même temps  (et repasse samedi prochain en début d’après-midi). Cette sortie s’est décidé il y peu de temps, quand on a récupéré des places de collègues qui ne pouvaient plus y aller. C’est très amusant et bien joué, mention spéciale à Jean-Noël Brouté qui  réussit de drolatiques cascades.